Les néostructuralistes reconnaissent, bien sûr, que des taux d'intérêt réels négatifs réduisent considérablement l'épargne potentielle.
Un grand patron comme François de Wendel n'en fait pas mystère : " N'ayant pas d'écurie de course et ne jouant pas au baccarat, je peux me payer le luxe d'une opinion indépendante. " J. - N. Jeanneney relève pourtant que " le puits n'est pas sans fond, et au surplus les difficultés diverses des années trente réduisent considérablement les disponibilités : d'où les choix nécessaires. À Paris, c'est au Journal des débats que Wendel dépense [ 85 ] ".