De même, 88 % des premiers ne comptent aucune ascendance étrangère sur deux générations, ils ne sont plus que 66 % parmi les seconds. A priori donc, ces changements de composition dans l'électorat pourraient expliquer les évolutions de l'indice longitudinal de tolérance.
Bien que ce point ait été rarement abordé dans la littérature, on peut se demander s'il n'est pas réducteur de ne considérer que la volatilité prévalant entre les pays étudiés pour expliquer l'évolution de leurs flux commerciaux.