En effet, on ne rencontre pas davantage de commentateurs aujourd'hui qu'aux prémices de la revue et les forums associés aux différents articles ne sont pas plus animés en 2009 qu'en 2001, soit parce qu'il n'y a pas matière à faire des commentaires sur tous les manuscrits, soit parce que les chercheurs ne se sentent pas légitimé à intervenir, trouvent que cela prend trop de temps...