Le traitement des enjeux environnementaux et urbains par les institutions européennes a longtemps fait l' objet de contestations, en raison de la grande complexité des enjeux traités, mais aussi du degré élevé de fragmentation des intérêts concernés, ainsi qu' en raison de l' absence de reconnaissance d' une compétence formelle de l' UE dans ces domaines, puis, pour le cas des enjeux urbains, au nom du principe de subsidiarité.
Indépendamment des formes que peut prendre la contestation du primat communicationnel dans le monologue intérieur, on note chez les tenants de cette première hypothèse qu' elle repose sur la revendication d' une absolue spécificité de la parole intérieure dans l' ensemble des productions langagières et sur la mise en évidence de la très grande complexité du fonctionnement discursif effectif des productions mentales, complexité qui exclut tout rapprochement avec le modèle dialogal.