La critique de Vernon J.Vavrina porte davantage sur les incohérences de la politique humanitaire de Carter, dans le temps mais aussi entre les différents pays.
La critique porte notamment sur la " formation générale " ( aspects pédagogiques transversaux et sciences humaines), surtout chez les futurs enseignants du secondaire, mais la " formation disciplinaire " n' y échappe pas.