Ces zones, largement utilisées à des fins pastorales, possèdent par ailleurs déjà de grandes productivités ( jusqu' à 10 t / ha / an pour la seule biomasse aérienne alors que plusieurs études ( Manlay et al., 2004) soulignent qu' elle est au mieux équivalente au stockage du sol) qui laissent entrevoir des gains de stockage réduits, voire même, dans les savanes les plus productives, un déstockage ( comparé au chiffre déjà élevé de 15 t / ha / an).