Toujours est-il que, rejoignant les méthodes de la psychologie évolutionniste, ces recherches ambitionnent d'expliquer la capacité de langage des humains modernes en proposant des scénarios qui se recommandent au plan causal du schème néodarwinien, tout en se rattachant à une anthropologie philosophique qui fonde les singularités du genre humain dans la donnée naturelle ( in fine biologique ) des potentiels cognitifs individuels.
Nous rejoignons ici les hypothèses des recherches en interaction.
Notre approche adopte le point de vue associatif et rejoint en cela le point de vue défendu dans le modèle SILEX de D. Corbin.